Trop fiers de notre pyramide d'acier,
pas un bonjour n'est échangé.
Les larmes du monde coulent sans fin,
sans un seul regard pour demain.
Simples dons notre village d'argiles,
un unique sourire est utile.
Pas de jalousie, pas de colère,
serrons nous la main dans la misère.
Seule la musique nous rassemble,
nous qui sommes si différents.
Une culture qui nous rassemble,
Une langue que l'on comprend.
La récompense de ces dialogues,
à la sueur de notre front,
C'est la merveille, une école
Pour ces enfants de chansons.
Mali
Commentaires
j'ai déja vu ce poème quelque part... je me souviens de quand tu l'as écris